Fabiana Casali

Commentaire « La Ballade des Pendus »

 

 

François Villon, poète du XV siècle, se démarque de l’inspiration lyrique et des manières courtoises de son époque, en ayant un style qui s’oppose à l’ordre établi dans son temps. Il arrive à être la plus connu poète français de la fin du Moyen Age.

Un de ses plus connues poèmes est La Ballade des Pendus, écrit vers 1460. Cette ballade met en scène des pendus fictifs qui s’adressent au lecteur en invitant à y avoir pitié envers eux. Le poème est considéré comme le testament de l’auteur, car on croit qu’il a été écrit quand il était en prison et attendait sa condamne, mais cette théorie n’a pus jamais été prouvé.

On se demande donc comment cet extrait cherche à provoquer pitié au lecteur.

Pour répondre a cette question on ferra pour commencer l’analyse des deux mondes présents dans le texte : celui des vivants et celui des morts ; puis on verra la partie morale présente dans le poème, pour finir avec la visée argumentative de celui-ci.

 

 

Dans un premier temps, nous allons découvrir la présence des deux mondes (morts/vivants), notamment grâce a l’analyse de la situation d’énonciation et au champ lexical de la mort.

Dès le premiers vers on peut voir qu’il existe une séparation entre le monde des vivants et le monde des morts, « Frères humains, qui après nous vivez, N’ayez les cœurs contre nos endurcis » (v1 et v2), où le poète fait une coupure entre les pendus (« nous »), et les humains qui seront à venir. On peut constater aussi que l’emphase et mis dans le mot « vivez », procédé qui contribue à faire la différence entre ces deux mondes. Nous nous intéressons en plus a la situation d’énonciation du texte, le pronom utilisée tout au long de la ballade est « nous » (aux vers 1, 5, 8,19, etc.), qui est utilisé pour designer les pendus, « nous sommes transis » (v4), « Nous sommes morts » (v19). Les pendus sont décrits comme « pauvres » (v3) et au vers 8 sont désignés par une synecdoque « Et nous, les os, ». On a un double destinataire : Le lecteur « Frères humains » (v1), après désignés par « vous » (v5, 11) et Jésus « Prince Jésus » (v31). Nous constatons donc que les morts s’adressent au monde humain mais en plus au monde divin pour qu’ils aillent pitié d’eux.

Cette division des mondes est mise en valeur grâce au champ lexical de la mort. Par exemple : « Quant a la chair que trop avons nourrie/Elle est piéça dévorée et pourrie » (v5 et 6). Villon utilise ici une antithèse entre « nourrie » et « pourrie », et une gradation entre « dévorée » et « pourrie », ces deux procédés mettent en scène la décomposition du corps et provoquent des sentiments de pitié au lecteur.

Dans un deuxième temps on verra la visée morale présente dans le poème á partir de l’analyse de la thématique de la religion, puis du constant appel á la compassion.

Tout au long de la ballade la thématique de la religion chrétienne est présente. Villon fait appel aux hommes pour qu’ils prient par eux, en se basant sur la croyance chrétienne qui dit que pour qu’un pécheur n’aille pas à l’enfer il doit recevoir le pardon. On peut voir ceci clairement au vers 18 « Nous préservant de l’infernal foudre » et au vers 33 «A lui n’ayons que faire ne que soudre ». Aussi nous nous intéressons à la répétition du dernier vers de chaque strophe (v10, 20, 30 et 35) que dit : « Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! ». L’insistance du poète cherche á l’appeler a la solidarité et surtout a la compassion du lecteur, qui l’amènera a l’absolution.

L’auteur fait non seulement appel a la pitié religieuse du lecteur, si non qu’il fait appel a sa compassion en combinant le champ lexical de la charité : « pitié » (v3), «mercis » (v4), et le champ lexical de la douleur : « nous ont les yeux cavés, et arraché la barbe et les sourcils » (v23 et 24), et la polysyndète et énumération « La pluie nous a débués et lavés, et le soleil desséchés et noircis » (v21 et 22). Villon fait remarquer aussi que la douleur des pendues durera beaucoup « sans cesser » (v27), et que personne reste indifférent á leur souffrances « De notre mal personne ne s’en rie » (v9).

Mais Villon n’utilise que le recours á la morale (aussi pouvant être considérées comme une argumentation persuasive) pour provoquer de la pitié dans le lecteur, il donne aussi une visée a argumentation plus logique au poème.

On s’aperçoit de la dimension argumentative du texte, que en ayant même des connecteurs logiques « car » (au troisième vers), cherche à convaincre d’une démarche plus scientifique de prier pour eux. On s’intéresse ici donc aux vers 3 et 4 : « Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plutôt de vos mercis ». Le connecteur de cause est accentué par la présence de la virgule, et il sert pour mettre en évidence qu’il s’agit d’un argument rationnel, et pourtant véridique. La mention de Dieu sert ici comme un argument d’autorité qui fait référence au « Notre père… Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi á ceux qui nous ont offensés », L’auteur utilise donc l’argument divin pour inciter le lecteur á les pardonner car ils seront eux aussi pardonnés, montre les conséquences favorables que pourra attirer aux lecteurs. Il fait une utilisation habile du nom de Dieu, mais son utilisation signifie aussi une ironie. Cette argumentation est complémentée par le vers suivant « Vous nous voyez ci attachés, cinq, six : » en faisant un euphémisme avec le mot « attachés », au lieu de dire »pendus », il met en arrière plan sa condition de condamné et donc de coupable. Cette condition et aussi atténué par l’énumération « cinq, six » qu’aide à faire une généralisation qu’attenue la culpabilité de chacun.

 

On constate, en fin d’analyse de La Ballade des pendus ,écrit par François Villon en 1460, que le texte apparaît bien comme un recours a la pitié du lecteur, grâce á la séparation du monde des vivants et celui des morts, qui met en évidence les souffrances des pendus. L’auteur recours á

une argumentation logique, mais aussi a une argumentation persuasive, qui cherche á provoquer pitié dans le lecteur en appelant a ses valeurs religieuses et morales.

Il est possible de comparer ce texte avec Le Testament (1461) recueil des ballades aussi écrit par François de Villon et qui met en scène diverses thématiques telles que la fuite de temps, la sagesse, l’injustice et il continue à parler de la mort, mais en s’aperçoivent plus d’optimisme dans ces ballades. Peut être due à la joie d’avoir être absolue et de pas finir comme un de ses pendus.

Valentina MARIN
Ballade de pendus:

         Au XV siècle, François Villon (1431-1463), écrit son plus grand succès dans le monde littéraire, Épitaphe de Villon,  qu'a était écrit quands on le condamne a mort. Un des ces plus cèlébre ballade c'est La Ballade Des Pendus, une ballade écrit en 3 dizaines plus une strophe de 5 vers en dècasyllabes.

       
        Cette poème fait partie du motif de la danse macabre et montre la mort de façon allégorique, et ça dans le XV siècle, permet d'sffronter la mort plus foulement mais aussi par ce que la mort est omniprésente par le noire, les guerre, mortalité infantile, etc...        


        Dans ce poème, un pendu s'adresse aux hommes et leurs monde en lui demandant qu'ils prient pour qu'ils soient pardonner par DIeu. Dans cette étude du texte ont va se questionner sur la dimention de dèsesperation que le narrateur a vers le pardon humain et aussi le pardon divine. Pour faire cela on va voir comment il demande pardon aux êtres humains, après comment le fait aussi en vers Dieux et finalement comment la déshumanisation est utilisée chez l'auteur pour faire sentir de la pitié en vers les criminales condamnè a mort. 


        Prèmièrement on va a voir que le narrateur de la ballade demande pardon aux êtres humains et les demandes de prier pour eux.On peut voir célà dans les nombreuse interpelation aux lecteurs, où on se dirige vers eux directement.Par exemple avec l'utilisation des verbes conjugés aux Subjonctif (vers 2 "n'ayez"; vers 15 "Excusez-nous"; vers 29 "sayez") et aussi l'utilisation de "vous" (vers 5). Tous c'est facteurs font que le lecteur pense qu'on le parle et même qu'on lui demande pardon est on lui demande de prier, on le persuadant avec leurs sentiments. 
         Le narrateur tente de sensibilizer le lecteur  pour qu'il fasse  ce qu'il veut, on le voit clairement dans les nombreuses figures de styles comme l'allégorie des sentiments : "les coeurs" (vers 2) ; l'euphénisme "pauvres" (vers 3) dont Villon sort du poix à les crimes effectués, appelant "pauvres" aux pendus où il fait appelle aux sentiments humains.
         Et finalement pour montrer comment Villon cherche le pardon humain on peut le voir quand il fait usage de Dieu comme autorité divine. par exemple dans le vers 16 quand il dit : "fils de la VIerge Marie", la Vierge est déjà l'allègorie du pardon, et aussi on peut se rendre compte que ce vers là est une synecdote pour se réferir aux tous les chrètiens est avec ça Villon demande même oblige a pardonner "comme bon chrètien" mais l'exemple le plus claire c'est celui du vers anaphorique propre de la ballade ( vers 10-20-30-35) "Priez Dieu que tous nous veuille absoudre!". C'est une demande textuelle pour la prière , faison rèference au Dieu. le signe d'exclamation nous montre un sentiment de preocupation et de desespération pour sauver leurs âmes, et comme ce vers est anaphorique nous montre une insistence que nous fait penser aussi au therme de la désespération.


        Deuxièment, on vera comment Villon demande pardon au Dieu, on peut voir célà dans le champ lexical présente sur la religion : (v.3) pitié ;(v.4) "Dieu"; (v10-20-30-35) "priez Dieu"; (v.11) "clamons";(v18) "Infernale"; (v.31) "Prince Jésus, que tous nous a mainstrie", aussi il montre une adulation ici en vers Jesus ; (v32) "Enfer" qui forme une antithèse avec Jesus et nous montre qu'il a peur d'arriver au enfer. 
        Aussi une sorte de musicalité , propres de ballades, mais une sorte de musicalité, qui se rapproche aux prières les plus communs comme Notre Père et la prières a la Vierge par exemples. (vers 17) "Que sa grâce ..." en se referant a la Vierge, cette partie du vers peut nous rappeller a la prière qui dit comme ça : Dieux te sauve Marie , plein tu est de grâce..." et pour mettre un autre exemple quands dans le vers 4 on utilise le mot "Dieu" comme symbole d'autorité et ça fait réferences à la prière de Notre Père que nous pardonnent à ceux qui nous ont offensés. Ces réferences aux prières connue nous montre comment le narrateur veut avoir le pardon divine est nou fait penser que le texte a une double destination où il est dirigée au 2 mondes,  le prémiere le espirituel, l'âme , la mort, Dieu, et le deuxième celle des vivants en persuadantles personnes de prier pour eux et aussi le monde vivants car ce sont là où ils sont les chauses matèrielles comme le corps. 

          Finalement, on étudiera la déshumanisation chez Villon dans ce poéme,   D'abord comment l'auteur fait un euphénisme : (vers.5) "attachés" pour parler des pendus est avec ça il met en arriére plan sa condition de condamné a mort et par consénquence il met sa culpabilité aussi en arrière plan, ce le même cas dans l'enjambement du vers 11-12"fûmes occis...Par justice" que mait en valeur le fait qu'ils ont étè tué et également que dans l'example précedent il met sa culpabilité en arrière plan. .
          Après l'énumeration du vers 5 est clés car depuis ici il commence a attenué la faute en parlent aux pluriels comme s'il vennait parler pour tous les pendus , et comme il son trop alors la faute s'attenue, on peut voir cette attenuation dans les vers: 8 "Et nous";15 "nous sommes transis" ; 17"nous"; 18"nous" ; etc...
        On peut se rendre compte comment l'auteur fait partie la dégradation des corps pour provoquer de la pitié aux personnes en vers cette horrible final. Ça est présente dans l'antithése : "pourrie/nourrie" (v.6-7) , après dans les prochains gradation : "dévorée/pourrie" (v.7) et "os, devenons cendre et poudre"(v8). Par après il continuera avec une série de description des corps en état de putrefactions. (v.22 "soleil déssechés, et noircis" ; v.23 "Pies, corbeaux nous ont les yeux cavés"; v.28 "becquétés d'oiseaux... dés à coudre" cette méthaphore fait une comparaison des corps de pendus avec les dès à coudre). Et pour mettre un air plus fantasmagorique Villon fait l'anaphore de mot "puis" (v.26) entrain de parler du vent et cette anaphore fait resentir le lecteur la sensation des corps entrain de se déplacer a volonté exclusif du vent.
      
    François aussi met un champ lexical de la souffrance (v.5-6-7-8-9-12-15-17-18-22-23, etc...)qu'est fait trés ténébreux le texte et nous fait ressentir de la pitié pour ces "pauvres" pendus.  
    

         Pour conclure, François Villon (1431-1463), écrit aux XVéme siècles sont oeuvre magistral Épitaphe de Villon où on a étudier le texte le plus connus,  La Ballade des Pendus, la ballade macabre qui montrer un pendu s'adressent aux hommes pour qu'ils prient pour leurs sauvation. On a vu qu'il montre trop de désesperation vers le pardon humains , pour en fin se gagner le pardon divine, et ça le fait en persuadon les humains avec leurs sentiments , la déshumanisation des corps, et utilisent DIeu comme autorité. 

Caterina Consigliere, 1ere ES.

« Ballade des pendus », François Villon.

 

 

 

Nous sommes en présence du poème « La ballade des pendus » écrit par François Villon. Sa date d´écriture n´est pas exactement connue, mais ont suppose qu´elle a était écrite quand il a été condamné a mort et finalement pendus. François de Montcorbier plus connu comme Villon né en 1431 à Paris, fut le poète français plus connu au Moyen Age. Il a écrit plusieurs ballades portant le thème de la mort telles que « Ballade des pendus ». Cette ballade a été écrite sous forme de testament en racontant la scène d´un pendu qui cherche a provoquer de l´empathie a travers la pitié et la compassion.

On peut donc se demander quel est selon François Villon sont point de vue de la mort. Pour répondre à cette question on analysera premièrement l´appel a la compassion et en deuxième temps la présence de deux mondes, celui des vivant et celui des morts.

 

Pour commencer on analysera l´appel a la compassion du lecteur. Des les premières lignes l'auteur interpelle les lecteurs quand il dit « frères humains » vers 1 « N`ayez le cœur contre nous endurcis » vers 2, celle-ci aide l´auteur avoir un rapprochement pour donc générer de l´empathie. Aussi il fait recours a des euphémismes comme « pauvres » dans le vers 3 qui fait recours a l´émotion et la pitié et « attachés » dans le vers 5 qui attenue sa pendaison et met en arrière plan sa condition de condamné a mort et donc sa culpabilité. Le champ lexical de la souffrance « attachés » vers 5, « dévoré et pourrie » vers 7 « infernale foudre » vers 18 « desséchés et noircis » vers 22 et le champ lexical de la compassion « pitié » vers 3, « priez Dieu » vers 20 montre que Villon cherche avant tout trouver la sensibilité du lecteur. Le poème commence avec des sentiments de souffrance comme « endurcis » vers 2, puis « cendre et poudre » vers 8, « desséchées et noircis » vers 22 pour finalement finir avec « yeux cavés » dans le vers 23. Il y a clairement une gradation qui renforce la souffrance qu´ils ont vécu quand ils ont été pendus, il veut atténuer son innocence en montrant la brutalité appliqués chez les condamnés. En analysant toute la souffrance vécu par les pendus, on peut voir donc que le poète est vraiment repenti des ses péchés. Le poème possède un double destinataire. Le premier comme on l´a déjà vu, c`est le lecteur, mais le deuxième destinataire c´est Dieu. Dieu est mentionné a la fin de chaque strophe « Mais priez Dieu que tous nous veuille absurde ! » vers 10,20,30 et 35.

 

En deuxième partie nous analyserons la présence de deux mondes dans ce poème, celui des morts et celui des vivants. A partir des deux premiers vers, on peut voir cette coupure entre ces deux mondes « Frères humains, qu´après nous vivez, N´ayez le cœur contre nous endurcis ». Villon veut séparer la vie de la mort. Il fait appel beaucoup des fois au pronom personnel « nous » au début des vers 1, 2, 3, 5, 8, 10, 16, 19 ,21(…), mais aussi au pronom personnel « vous » vers 4,5 c´est un procédé d´emphase qui sert a interpeller au lecteur mais aussi créer une certaine distance. Le monde des morts est décrit péjorativement, en état de décomposition « pourrie » vers 7, « noircis » vers 22. Pourtant que dans le monde des vivants fait un appel au pardon, on peut le voir avec le chiasme présent dans le vers 3-4 « Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous mercis ». Pour créer de la compassion chez les morts, Villon fait appel à la compassion pour pouvoir avoir le pardon de Dieu. Il y a une opposition entre les deux mondes, un vue comme macabre et l´autre muet. Cette opposition est crée par l´exagération crée par le poète au moment de décrire ses sentiments de désolation. Aussi il y a une paradoxe dans la dernière strophe dont il fait une opposition entre le paradis et l´enfer, « Prince Jésus, qui sur tous a maistrie, Garde qu´Enfer n´ait de nous seigneur ». De cette manière Villon recours a des arguments logiques a travers des sentiments.

 

En conclusion nous pouvons dire que « Les ballades des pendus » de François Villon, c´est un poème qui parle d´une manière négative de la mort et qui a travers des arguments persuasifs cherche à créer compassion chez le lecteur. Villon a travers de la poésie crée un testament en faisant appel a la charité chrétienne. A travers de cette ballade, le poète nous rappelle que l´arrivé de la mort c´est pour tous. Cet une ballade de type Memento Mori, phrase en latin qui signifie « n´oubliez pas que vous allez mourir ».

 

 

Tomas Daneri

Commentaire sur: La Ballade des pendus, de François Villon

 

François Villon, "rimailleur" du XVéme siecle, est très connu graçe à sa rupture avec l'inspiration lyrique  et les manieres courtoises de son époque. Il nous évoque dans son poéme Ballade des pendus un cadavre qui s'adresse au lecteur. 
 Nous nous démanderont comment le narrateur cherche à se faire pardonner par le lecteur. 
 Pour cela nous analyserons les interpellations au lecteur, puis le recours aux sentiments et finalement la dimension argumentative du poéme. 
 
 
 En premier temps nous analyserons les interpellations au lecteur. On peut voir que le poéme commence par une interpellation directe "Frères humains" (vers 1), ce qui nous indique tout de suite qu'il s'addresse à un groupe de personnes. Puis, tout le long du poéme il continue ses interpellations de deux manieres:  
 D'abbord sous forme directe "Vous" (vers 4, 5, 11, 13), ce qui sert a maintenir le lecteur attentif comme au vers 5, où en plus le "Vous" est sujet à un procédé d'enphase car il est en debut de vers.  
 Et puis sous forme des petitions, ou même des ordres: comme au vers 2 "N'ayez", au vers 19 "âme ne nous harie", quand il dit "Excuses-nous" (vers 15), au vers 29 "ne soyez donc de notre confrérie", ou à la fin de chaque strophe où l'on lit "Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre", ces phrases nous montrent  l'objectif de se poème.

Maintenant, on ferra un analyse des recours aux sentiments dans ce poème. Tout d'abbord on peut voir que le narrateur parle de la mort des condamnés (donc de sa propre mort) quand il dit "quoique fûmes occis" au vers 12, aussi quand il dit "puisque sommes transis" au vers 15 et finallement au vers 19 il dit "nous sommes morts", on peut voir qu'il devient de plus en plus directe avec cette sorte de gradation en commençant avec des periphrases pour finnir en dissant le mot: "morts", ce qui fait appell aux sentiments du lecteur. 
 Puis, on peut voir que le narrateur accentue la degradation du corps pour faire que le lecteur se rend compte que les soufrances des condamnes ne s'arretent pas aprés la pendaison, quand il dit au vers 6,7 et 8 "Quant à la chair [...] devenons cendre et poudre", il emploi le grotesque pour provoquer la pitié. Et il continue ainsi pendant la troisième strophe où il fait une énumeration des pénuries qu'ils souffrent: "desséchés" (vers 22), "yeux cavés" (v 23), etc.

Finalement, on analysera la dimension argumentative de ce poéme. En premier temps, le narrateur cherche à attenuer sa culpabilité en employant plusieurs procedés. Au vers 5, il dit "attachés" au lieu de "pendus", cet euphenisme met en arriere plan sa condition de condamné et donc sa culpabilité, puis au même vers il emploi l'enumeration "sinq, six" car le nombre de condamnés attenue la culpabilité de chaqu'un. Aprés il dit au vers 12 "occis", mis en valeur par un enjambement, il met donc en valeur le fait qu'ils ont été tués et non le fait qu'ils etaient coupables. Et finalement, pour expliquer un peu sa culpabilité il s'excuse en disant au vers 14 "tous hommes n'ont pas bon sens rassis", argument par generalisation qui explique que pas tout le monde est bon. 
 Aprés avoir essayé de diminuer sa culpabilité aux yeux du lecteur, le narrateur emploi un dernier argument: l'autorité divine. Il fait appel à Dieu et a Jesus, les plus hautes autorités de l'époque, pour inciter les lecteurs à les pardonner en leur offrant quelque chose en retour "Car, si pitié de nous pauvrez avez, Dieu en aura plus tôt de vous mercis" (vers 3 et 4). 
 
 
 Graçe à cet analyse, on a pu repondre a notre problematique "comment le narrateur cherche à se faire pardonner par le lecteur." On a pu constater que pour cela le narrteur mêle les sentiments de pitié avec la peur de Dieu pour que l'on laisse de coté sa culpabilité. On pourrait plus tard se demander en quoi ce poéme est une innovation pour le lyrisme de cette époque.