Par Daniel, Claudio, Tomas A.

Gustave Flaubert (1821-1880) a publié son œuvre plus connue, « Mme Bovary » dans l’année 1857. Cet roman relate la vie d’une femme frustrée par sa vie d’épouse ou elle n’est pas joyeuse. Il se situe en Françe au XIXéme siecle, on va analyser un extrait élue du début de ce roman. On va présenter un extrait du chapitre 1 (page20-22), ou on raconte le premier jour de classe de Charles Bovary, nous allons voir comment Flaubert ridiculise le personnage. Avec cet extrait on va répondre a la problématique suivante : « Comment est représenté le personnage dans cet extrait ? » Pour ça on va faire un description du personnage et de son accessoire fondamental (la casquette). On va commencer en parlant de la casquette, puis comparer l’enfance de cet personnage avec lui-même a l’âge adulte et finalement comment Charles est presenté comme un anti herós.

Cet texte nous montre l’ arrive de Charles Bovary a son nouvelle école, il y a un appel a la mémoire de Charles, il semble être un passage d’un roman autobiographique où il se souvient de son enfance. Ici un des axes importants est la casquette, de laquelle on va parler maintenaient. En outre, Flaubert présente au lecteur un accessoire improbable pour un personnage improbable. Tout d’abord, Flaubert fait une description très minutieuse de la casquette de Charles. En effet, cette scène romanesque tourne essentiellement autour d’un objet : la casquette, que c’est l’objet d’humiliation. La casquette ridiculise Charles et provoque des rires dans les élèves ; comique de situation. la casquette est comme le reflet de l’imbécilité du personnage, il dit : « comme le visage d'un imbécile «. On peut voir un parallélisme tant que la casquette est « neuve » et Charles est le « nouveau » ».Charles est très ridiculise dans cet extrait par les moqueries de ses camarades « Il y eut un rire éclatant des écoliers qui décontenança le pauvre garçon, si bien qu'il ne savait s'il fallait garder sa casquette à la main, la laisser par terre ou la mettre sur sa tête ». Mais il est aussi ridiculisé par son professeur. On peut dire que Flaubert ridiculise son personnage. Premièrement Il fait la description minutieuse d’un accessoire fondamental, pour amplifier le ridicule du personnage.

Dans cet parragraphe on va comprarer ce personnage dans son infance et dans l’âge adulte. Charles Bovary est toujours ridiculisé dans le livre après dans l’âge adulte il est aussi ridiculisé par ses camarades médecins. Quand il rentre a la sale de classe il est nouveau et quan il arrive a la ville aussi il est nouveau. Aussi il est ridiculise par sa femme ca il n’a pas d’autorité et il est contrôlé par sa femme. Il se laisse faires par sa femme il n’a pas d’autorité, Emma depense leur argent en ce qu’elle veut. On est en présence d’un inversement des rôles. Sa vie ce centre dans le travail et dans les etudes, il est toujours occupé. Malgré tout ca il est regardé de forme péjoratif par sa femme.

 

Maintenant dans ce parragraphe on va parler de comment Charles est presente avec un portrait d’un anti herós. Charles s’oppose aux personnages héroïques de la tradition romanesque, il est crée un personnage ordinaire, marqué par la médiocrité. Flaubert montre en Charles Bovary un être timide et ridicule. L’écrivain produit ainsi un effet de surprise en commençant son roman par le portrait d’un anti-héros. Le narrateur porte un regard ironique sur Charles Bovary, ce personnage apparaissant dans le début du roman et il est ridiculisé. Tout au long de l’extrait, le personnage de Charles est humilié.

En conclusion on peut déduire que c’est par la casquette que le lecteur, comme ses camarades de classe, prennent connaissance du personnage, identifiant Charles comme un antihéros. On deduit que Gustave Flaubert ridiculise son personnage, premierement, Il fait la description minutieuse d’un accessoire fondamental, pour amplifier le ridicule du personnage, puis il dramatisr la scene en annoncant la tragedie qui va venir, en presentant un anti heros.