Par Loe, Pascual, Tomas

Commentaire sur l’extrait de Mme Bovary

 

Gustave Flaubert, écrivain du XIX siècle, évoque dans Madame Bovary, une femme mariée à un médecin médiocre, Charles Bovary. Elle, désirant des aventures et du plaisir, comme avoir plusieurs amants et finalement se suicide quand elle tombe réellement amoureuse de l’un de ses amants mais celui-ci la repousse.

Dans cet extrait, Flaubert nous dévoile la véritable personnalité de monsieur Homais, un pharmacien que, tout le long de l’œuvre, était le plus proche du lecteur : un homme culte, antireligieux, aimable…

Nous nous demanderons donc en quoi cet extrait nous montre le véritable caractère de monsieur Hornois.

Pour celas on verra tous les éléments qui pourraient faire d’Homais un homme heureux, puis on décrira l’ambition qui consommait ce personnage, et ce qu’il fait pour le satisfaire, et finalement on verra comment le désespoir tombe sur Monsieur Homais.

 

 

Tout d’abord on voit que monsieur Homais avait une «florissante et hilare» famille, ce qui nous montre qu’ils n’ont pas des problèmes et sont heureux. Puis on a : « que tout au monde contribuait à satisfaire », cette phrase est très signifiante car elle nous dit qu’en fait, Homais et sa famille étaient répètes, et dire que le monde les satisfaisait c’est une claire allusion de pourquoi c’était une famille très heureuse, on peut voir par exemple qu’Athalie brodait pour monsieur Homais, Irma fessait des confitures, et Franklin était un enfant très intelligent , monsieur Homais était vraiment « le plus heureux der pères »

Et la famille n’était pas seulement la chole la plus excellente dans la vie d’Homais : dans son métier il était très reconnu : « les titres ne lui manquaient point », il avait était reconnu lors du choléra, il avait publie « différents ouvrages » sur la pharmacie et la médecine et les avait même envoyée a l’Académie, et il était membre de quelques société savantes. On voit tous cela, qu’il était quelqu’un de tres intelligent et fort habile dans son métier.

 

Mais si on pense qu’une belle famille et la reconnaissance académique suffisaient à rendre Mm Homais heureux, nous nous trompions car : « une ambition sourde le regardait : Homais désirait la voix », hélas, tout ce qu’il avait ne le consolait pas, il voulait plus, il voulait une reconnaissance du roi, le plus grand des honneurs, on se rendre compte donc que monsieur Homais est un petit bougeoir de province qui rêve de pouvoir et de reconnaissances. Et celas le mène finalement par le mauvais chemin : Affin d’attirer l’attention de ses supérieurs, il décide de faire tous le possible, il triche aux élections : « il rendit secrètement…dans les élections » et puis comme un lâche qui fait tous afin d’obtenir ce qu’elle veut « il se vendit », « il se prostitua », pas littéralement peut être mais le sens reste le même : il était désespérer, il savait pas quoi faire donc il fut tout.

De plus, voyants que ces efforts étaient inutiles, « il adressa même au souverain une pétition », là il ne pus plus, il demande « justice », il adule le roi en l’appelant « notre bon roi » et le comparant a Henri IV. Il devient presque fou, il essaye par tous ses moyens, mais c’est inutile et il tombe dans le désespoir

 

Finalement, dans le dernier passage de cet extrait on le passage du « désespoir ». On lit d’abord que « chaque matin, l’apothicaire se précipitait… » Celas nous montre l’impatience de se personnage face a cette ambition. Puis on lit « il fit dernier… l’étoile de l’honneur », on voit les dernier

essais Homais pour avoir la croix, mais, celas étant inutile, perd toute espoir devenant un pessimiste.

À la fin du dernier paragraphe, on peut lire « Il se promenait autour, les bras croises, en méditant sur l’ineptie du gouvernement et l’inaptitude des hommes », là on voit la phrase finale de l’ambition non accomplie : le pessimisme.

Ayant fait tout se qu’il pu, et n’ayant obtenu rien, monsieur Homais culpabilise le gouvernement en le qualifiant de « inepte », inutile, ce qui est, en fait, une contradiction avec tout ce qu’il avait dit du souverain. Et il critique « l’ingratitude des hommes » car il sent qu’il na pas reçu ce qu’il méritait âpres avoir fait tout ce qu’il a fait.

 

 

 

Dans tout cet extrait on a pu voir que monsieur Homais, qui avait était un personnage correcte et joyeux, n’est rien d’autre qu’un bourgeois de province ambitieux et capable de faire tout pour obtenir ce qu’il veut.