Jean Genet né a Paris le 19 Décembre 1910, orphelin de mere et de père, est place dans une famille d’accueil. A la suite d’un certain nombre dde delits mineurs il vecu sa premiere experience caracerale a l’age de 15 ans. A dis huit ans pour quitter la colonie il s’engage dans l’armee. Il deserte en 1936 et quite la France. Durant un an il vagabonde a travers l’europe avec de faux papiers. De retour a Paris, en l’espace de 7 ans il fait l’objet d’une douzaine d’inculpation pour desertation, vols, falsification de papiers. Il est incarcere jusqu'à l’automne de 1942. Il es libere en 1944.

De 1945 a 1948 il ecrit coup sur coup trois romans, un recueil de poemes, un ballet et trois pieces de theatres incluyant les Bonnes.

Les Bonnes traitent de deux soeurs qui travaillent chez une patronne mais elles haissent et aiment en meme temps leur patronne. Elles ont denonce l’amant de celle-ci par des lettres anonymes. Chaque soir pendant que leur patronne n’est pas la et s’occupe  de la liberation de son amant , elles font une sorte de rituel ou elles utilisent les toilette de leur patronne et l’une d’entre elles imite a madame pendant que l’autre la bonne.

Cet extrait qu’on va etudier montre comment les sœurs en appprenant qu’on va relacher l’amant de madame, faute de preuves et que leur trahison sera decouverte, veulent s’entre-tuer apres echouer en voulant assassiner madame ; finalemnt l’une d’entre elles se donne la mort et l’autre,seule,ivre de gloire,tente de s’egaler par la pompe de ses paroles et des attitudes au destin magnifique qui l’attend.

Nous allons voir comment cet extrait est un denouement tragique en nous interessant premierement dans le theme de la raison de passion et acte de folie et ensuite nous verrons le sort de la tragedie classique.

Dans une première partie ont peut observer que les sentiments de passion et haine se rencontre oppose avec la raison. Cette lutte est représentée de différentes façons dans la scène ; Comme par exemple l’entrée en cérémonie entre les lignes 2 et 3 quand t’il dit : « Elle s’assoit dans le fauteuil. », où cette indice de lieux  va nos indiquer quand commence la cérémonie menée par Claire et aussi que cette cérémonie va se mélanger avec le réel.

Dans cette acte de folie ont peut trouver aussi un jeux de rôle de la part des deux sœurs, mais surtout de la part de Claire qui va jouer le rôle de Madame et ont peut le constater sur les lignes 3 : « Ah! Mais non ! Vous croyez, ma bonne, », où Claire fait une distinction avec sa sœur. Ligne 39 « Je dis ! mon tilleul », ligne 43 « Je le boirai quand même. Donne. », Où les verbes a l’impératif nous donne une idée de qu’elle veut jouer le rôle de madame, mais elle ne parle jamais comme Madame, et elle continue à être Claire ; Et cela reste en évidence aussi parce que Claire va renter et sortir de la cérémonie comme sur les lignes  8 : « Solange tu me garderas en toi. » ; Ligne 13 : « Reste. » ; Ligne 24-25 : « Répète avec moi… » ; Ligne 29 : « Garce ! Répète » ; Ligne 35-36-37 : « Ne m’interromps plus. Tu m’écoutes ? Tu m’obéis ? » ; et ligne 44-45 : « Et tu l’as versé dans le service le plus riche, le plus précieux… ». Ces lignes sont les lignes quand Claire sort de la cérémonie pour contrôler la situation et dominer sa sœur avec tous ses ordres (indice des verbes à l’impératif) et la guider dans son jeux.

Mais Solange va vouloir s’en sortir et elle va jouer un rôle important sur la progression de la scène où sa sœur veut l’imposer, mais Solange va  jouer avec une augmentation dans ses dialogues comme ont peut constater sur les lignes 10-11 : « Mais non ! Mais non » Tu est folle. Nous allons partir ! Vite, Claire. Ne restons pas. » ; Ligne 14 : « Claire, tu ne vois donc pas comme je suis faible ? Comme je suis pâle ? » ; Ligne 28 : « Non, je ne veux pas » ; Ligne 38-40-42 :« Mais… », « Mais, madame… », « Mais, madame, il est froid. ». On peut observer une progression sur le dialogue de Solange, que commence avec une négation, âpres une persuasion où elle veut faire appelle  à les sentiments de la sœur. Puis elle continue avec négation absolue, mais puis elle tombe sous le contrôle absolu de sa sœur Claire, alors Solange rentre dans le jeux de la cérémonie.  

            Alors ont peut dire que le jeux de personnalités de Claire et l’utilisation des verbes impératifs nous donne une atmosphère de domination de la part de Claire et une soumission de la part de Solange. Aussi la passion de Claire et leur insistance sur mener la cérémonie du dénouement nous met en évidences les prédécès de son acte de folie.

            Dans une deuxieme partie que le sort de la tragedie classique se manifeste par la mort de la personne non souhaitee : Claire. Mais aussi cette mort se manifeste plus comme une mort tragique ou Claire considere cette mort comme une cathasis, comme une manière de se liberer de sa condition de bonnes. Le paaaradoxe de la ligne 32 et 33 : « Et surtout quand tu seras condamnee n’oublie pas que tu me portes en toi », l’enumeration de la ligne suivante « Nous serons belles, libres et joyeuses ». Donc selon Claire mourir est non seulement une manière de se liberer de sa condition de bonnes mais aussi d’etre comme madame, de posseder sa beaute, d’avoir tout ce qu’elle a.

            Mais cette mort aussi est un acte d’amour de la part de Solange. Elle fait un sacrifice pour sa sœur et va y avoir tout le poids de l’accusation mais aussi Solange le fait par amour a l’amant de madame pour aller la retrouver au bargne et le rencontrer et vivre son amour. « Parle , mais tout bas » cet imperatif nous montre que Solange accepte le compromis du  sacrifice. Mais plus loin on va voir qu’une autre phrase contredis la phrase d’avant « Non, je ne veux pas »,la on peut voir que Solange commence a se repentir et la didascalie « dure » montre son iniciation, elle reprend son role de dominatrice. Solange donne des arguments pour eviter le delit « mais ,madame….. » «  mais, madame il est froid », la conjonction de coordination « mais »  nous montre que Solange ne sait pas quoi faire. Elle hesite mais elle obeit quand par l’insistance de Claire.

Enfin on voit que cette scene va jusqu'à la fin, cette fois il n’y a pas d’interruption, « rideau » fin de la ceremonie et de la piece de theatre.

            En conclusin on peut voir que par les Bonnes Jean Genet arrive a inserer une tragedie classique dans sa tragedie moderne par la mort de Claire ou on peut dire que sa mort a tous les aspects de la tragedie classique par exemple Phedre qui meurt pour amour d’une mort tragique.