Diego escobar

Joaquin germain

 

Fin de partie (1957)

 

 

 

On étudiera un extrait de Fin de partie, écrit par Samuel Beckett, né le 13 avril 1906 à Dublin, Irlande, et mort le 22 décembre 1989 à Paris. Cette scène appartient au théâtre de l’absurde. Dans cet extrait, nous sommes en présence de deux personnages, Hamm, un aveugle paralysé et son serviteur Clov, dans cet scène on trouve que Clov raconte a son maître  ce qu’il voit dehors, son maître Hamm essai voir les choses a travers les yeux de son serviteur. Notre problématique est: quel est la relation maître  valet présent dans l’extrait?

Pour répondre à la question posée on étudiera d’abord l’absurdité du monde présent dans l’extrait et après les sentiments des personnages.

 

 

Dans l’absurdité du monde présent on trouve que le valet se moque du maître avec se qu’il lui dit qu’il voit, on trouve  aussi une comique de geste dans les didascalies du valet : il fait des gestes exagérer que son maître no voit pas.

Comme on le voit dans la ligne 13 “ baisant la lunette, se tournait vers Hamm, exaspérer”

Ligne 21 “ayant cherché” ligne 23 “regardant toujours” ce qui est complètement absurde.

On constate une supériorité du valet sur son maître car le valet a une vue amplifié car une lunette pour regarder et son maître est aveugle donc il voit rien du tout.

 

Après on trouve que les sentiments présents sont plutôt tristes, mélancoliques et obscure pour ce qu’on pourrait parler d’un registre tragique présent.

On voit que le maître est aveugle pourtant il ne perçoit pas de couleurs, alors on parlerait d’une absence de sentiments joyeux, positives. On trouve un cadre spatial obscure sans couleurs, on le voit a la ligne 25 “ il fait gris. Gris! GRRIS!” après on voit a la ligne 29 “noire claire” ligne 19 “néant”.

Dès la ligne 33 à 36 “cette nuit j’ai vu dans ma poitrine, il y avait un gros bobo” où on peut constater que le maître n’a plus de sentiments, son Coeur (sentiment) est mort.

 

 

Pour conclure on pourrait dire que cette relation maître valet est propre de l’absurde car comme tours les cas des relations entre maître et valet, c’est le maître qui a une supériorité mais dans ce cas la supériorité l’a le valet et le maître est dépendent du valet.