Commentaire Les Justes Acte V:
Nous allons étudier un extrait de la pièce de théâtre Les Justes , Acte V, ce extrait écrit par Albert Camus, important
dramaturge du XXeme siécle, par ces écrits romanesques, ces essais, et ces pièces théâtrales dont notre extrait Les
Justes (1949). Camus á la particularité qu'il y a 3 cycle dans sa écriture, le cycle de l'absurde, le cycle de la révolte, et le cycle de l'amour. Notre texte a étudier fait
partie de cycle de la révolte. Aprés la 2de guerre mondiale, le théâtre se transforme dans un lieu de questionnement politique et philosophique. Camus dans cette cycle la, commence a ce
questionner et a essayer de provoquer un changement. Les Justes est bassée dans un fait réelle de la révolution
russe.
Cette extrait raconte d'aprés la capture de Yanek par la police il est éxécuté et ses camarades assistent, moin Dora qu'on peut concluir qu'elle est amoureuse de Yanek. Dans cette final
aparaitrent Dora, Annenkov, Stepan et Voinov. Dora va a raconter clairement l'éxécution de Yanek sans avoir aller et démandra a Annenkov de faire le prochain attentat, pour avoir le même sort que
Yanek. Alors dans cette étude on veras comment cette fin est trés particulière.Prémierement parce que c'est une tragédie pas tragique, deuxièment par l'amour fusionelles, et finalement par la fin
qui ne termine pas.
D'un principe on peut voir que c'est une tragédie pas tragique. Elle est tragique d'une part par le champ lexical de la
mort : sacrifice (l.8) ; mort (l.8); potence (l.9); nuit(l.16) ;bourreau (l.17) etc... ce champ lexical nous montre la tragèdie de la mort de Yanek , aussi ont peut voir la desesperation qui nous
rend Dora ont le sais par les anaphores dans la l.3 "Oui,oui·" et l.11 "Et puis, et puis" et aussi on peut voir la tristesse de Dora dans les didascalie: l.15 "Avec violence" ; l.17" Elle se
jette contre le mur".Mais cette fin n'est pas tragique de tout, on peut voir que c'est n'est pas une mort tragique car ils son révolutionnaire , ils peuvent mourir par ces idées, cette téorie est
certifié par le champ lexical de l'hereux: l.1-4: hereux...hereux....hereux... bonneur; l 28-25:rire...riait...jeune...rire...rire.Aussi on peut voir que cet n'est pas tragique par deux
antithèses l.4:...être hereux dans la vie, pour mieux se preparer aux sacrifice.Hereux et sacrifice sont des thermes opposées qui vont faire penser le espectateur que Yanek va mourir pour
l'hereux. Une autre antithèse qui montre ça: l.4-5:...reçu le bonheur au même temps que la mort. aussi on peut montrer cette tragèdie pas tragique dans la métaphore: (l.25) "Il doit rire la face
contre la terre" ça montre la joie que doives avoir Yanek pour mourir par ses idéales. Et dans la ligne 21 Dora dit: Ne pleurez pas, non,non, ne pleurez plus." nous fait penser qu'ils doivent
être hereux car il a mort pour une idée la quelle il aimé autant pour mourir
Deuxiément on va voir le thème de l'amour fusionel de Dora avec Yanek. On voie que dans le texte Dora parle avec Stepan, elle veut savoir
tous les petits détailles de la mort de son amour, mais elle sait déjà comment c'est passéé alor Stepan se diminue a accepter ce que Dora dit, (l.19) "C'est alors qu'il est monté...
On peut se rendre compte que le rythme de Stepan dans toute la scène c'est égal a celle du Dora et ça valide aussi la sensation de que Dora il y a assister. Encore ont a l'idèe de que la
mort n'est pas un obstacle parce que Dora veut mourir pour rencontre Yanek , et ces personnes ne voiyent pas la mort comme quelque chose négative, alors la mort ce ne pas une
fin.
Troisiémment, la pièce èvoque une fin qui ne termine pas, On trouve ça dans les verbes au futur à la fin de l'acte : (l.43) "m'aiderais" (l.76-77) "·donneras,
lancerai"; (l.81) "sera". C'est verbe là nous donne une sensation de recomencement, de que cette historie ne finisse pas là. paraillement on en face a une sensation de ne pas finir, dans l'idée
d'un nouveau atentat en mains de Dora. (l.31) "Je veux la lancer" Dora dit ça a Annenkov, qu'aprés un moment il accepte et sera la decision finale pour Dora qui se donneras la mort de même que
Yanek comme elle veut.
Finalement, on peut voir que cette fin de Les Justes (1949) écrit par Camus, que c'est diffèrentes aux d'autres parce que les
choses ne sont pas comme on pense , la mort c'est pas une tragédie; même si c'est la fin on reste avec la sensation de qu'on nous manque un évenements encoreç; et enfin l'amour de Dora c'est
fusionnel , elle n'a pas assister a sa éxécution mais elle sait tout ce qu'il y a passé. On peut comparer cette fin avec celle de Shakespeare Romeo et Juliette parce que lá aussi Romeo se suicide, et quand Juliette le trouva mort elle décide de se quitter la vie aussi égale aux extrait où
on sait que Yanek est mort , et en sachant Dora décide de se tuer.
Valentina Marin / Daniela Ramirez 1ere L
Commentaire Acte V
On est en présence de la fin de l’œuvre, l’Acte V du livre Les Justes, écrit par Albert Camus en 1949 période de la post guerre. Albert Camus est né en 1913 en Algérie. Il fait une licence de
philosophie, s’oriente vers le journalisme après avoir publié deux essais. Pendant la guerre, il participe à la résistance dans le groupe Combat qui publie un journal clandestin. Dans cet acte on
voit que Dora sait sur la mort de Kaliayev, donc elle commence à être en détresse par la mort de son amoureux mais cette souffrance se transforme en espoir, donc elle décide de lancer la bombe
prochaine pour être avec Kaliayev après la mort.
Maintenant après avoir fait le résumé, ont peut nous poser la question suivante : ¿En quoi la fin de ce acte est particulier ?
Pour répondre à la question en premier on montrera une fin qui n’est pas une fin typique, par la suite l’amour fusionnel et en dernier une fausse tragédie.
Notre premier axe c’est une fin qui n’est pas une fin. On peut voir qu’à la fin de la pièce on voit le mot « Rideau » qui indique la fin de la pièce, mais dans le texte on peut voir que ce n’est
pas la fin de l’histoire. Dora parle plusieurs fois au futur « La prochaine fois je lancerai la bombe » « Je le lancerai » « Tout sera plus facile maintenant » On peut voir dans les phrases que
Dora veut continuer avec sa mission de lancer la prochaine bombe, donc c’est ne pas la fin de l’histoire, on peut voir que c’est très particulier en comparaison avec plusieurs œuvres de théâtre.
Notre deuxième axe c’est l’amour fusionnel entre Dora et Kaliayev. On peut voir plusieurs Anaphores pour décrire les sentiments de Dora. Par exemple à la ligne 1, ligne 3 et 4 on note la
répétition du mot heureux, ici on voit la préoccupation de Dora avec la mort de son amoureux. Dans les lignes 17 et 18 ont peut voir une autre Anaphore de la phrase « Des bruits Sourds » Ici
Stepan décrit la situation après la mort de Kaliayev, aussi la répétition de cette phrase nous montre comment la souffrance augmente en Dora. On peut voir une autre Anaphore dans la phrase un
bruit terrible qui nous montre la même chose. Dora et Kaliayev comparent une même idéologie, ils veulent tuer le grand-duc Serge. C’est l’amour qui unit ces personnages, ils partagent la même
cause, ils ont une même conviction, un même objectif, le même sentiment.
Notre Dernière axe c’est une fausse tragédie. Quand Dora sait sur la mort de Kaliayev, on note qu’elle est en détresse par la mort de son amoureux, mais cette
souffrance se transforme en espoir. Elle lui dit à Annenkov de lui rendre la bombe. Elle veut être avec Kaliayev après la mort. Apres la mort de Kaliayev il y a un changement d’attitude de Dora,
on peut voir a la ligne 33 « suis-je une femme maintenant ? ». Elle est capable de tout pour rejoindre Kaliayev dans la mort. On peut voir un tragique amoureux, Kaliayev meurt car il ne peut pas
supporter être un meurtrier , mais Dora est obligée heureuse de la mort de son amant. Comme dans l’œuvre de Shakespeare Romeo et Juliet l’union n’est possible que dans la mort.
Pour conclure on peut dire que comme on l’a dit ce fin d’œuvre n’est pas un fin de tragédie classique a cause de un final sans final, a cause d’une tragédie pas si tragique et a cause d’un amour
que va plus loin que la mort. Cette dernière raison nous renvoie a la phrase de Shakespeare citée au début du livre, en nos démontrant que l’amour entre Kaliayev et Dora va plus loin que la mort.